Albert Camus
Discours de réception du prix Nobel, 1957
Avec une célébrité !

Fernando António Nogueira Pessoa est un écrivain, critique, polémiste et poète portugais.
Il est né le 13 juin 1888 à Lisbonne, ville où il meurt le 30 novembre 1935.
L'auteur utilisera au cours de sa carrière de nombreux hétéronymes et pseudonymes :
Alberto Caeiro, qui incarne la nature et la sagesse païenne ;
Ricardo Reis, l'épicurisme à la manière d'Horace ;
Alvaro de Campos, le « modernisme » et la désillusion ;
Bernardo Soares, modeste employé de bureau à la vie insignifiante
s'il n'était l'auteur du livre sans doute le plus célèbre de l'auteur, Le Livre de l'intranquillité ;
et au moins soixante-douze alias en incluant les simples pseudonymes et semi-hétéronymes.
“Les choses n'ont de valeur que
par l'interprétation qu'on en donne."
"Chacun de nous a sa vanité, et cette vanité consiste à oublier que les autres ont une âme semblable à la nôtre.
"J'éprouve un dégoût physique pour l'humanité ordinaire : c'est d'ailleurs la seule qui existe."
“ Renoncer, c'est nous libérer.
Ne rien vouloir, c'est pouvoir."
"La plupart des gens souffrent de cette infirmité de ne pas savoir dire ce qu'ils voient ou ce qu'ils pensent."
"La littérature est la preuve
que la vie ne suffit pas."
"L'art consiste à faire éprouver aux autres ce que nous éprouvons, à les libérer d'eux-mêmes, en leur proposant notre personnalité comme libération particulière. L'impression que j'éprouve, dans sa substance véritable qui me fait l'éprouver, est absolument incommunicable ; et plus je l'éprouve profondément, plus elle est incommunicable. Pour que je puisse, par conséquent, transmettre ce que je ressens à quelqu'un d'autre, il me faut traduire mes sentiments dans son langage à lui, autrement dit, exprimer les choses que je ressens de telle façon qu'en les lisant, il éprouve exactement ce que j'ai éprouvé. Et comme ce quelqu'un d'autre, par hypothèse de l'art, n'est pas telle ou telle personne, mais tout le monde, c'est-à-dire cette personne qui appartient en commun à toutes les personnes, ce que je dois faire, en fin de compte, c'est convertir mes sentiments propres en un sentiment humain typique, même si, ce faisant, je pervertis la nature véritable de ce que j'ai éprouvé.
Les choses abstraites sont toujours difficiles à saisir, car il leur est toujours difficile de capter l'attention du lecteur. J'en donnerai un exemple simple, par lequel je vais concrétiser les abstractions qui précèdent. Supposons que, pour un motif quelconque (la fatigue de faire des comptes, ou l'ennui de n'avoir rien à faire), je sente tomber sur moi un vague dégoût de la vie, une anxiété née au fond de moi, qui me trouble et m'angoisse. Si je traduis cette émotion par des phrases qui la serrent de près, plus je la serre de près, plus je la donne comme m'appartenant en propre, et moins, par conséquent, je la communique aux autres. Et si on ne parvient pas à la transmettre à d'autres, il est plus facile et plus sensé de l'éprouver sans la décrire.
Supposons, cependant, que je veuille la communiquer à autrui, c'est-à-dire, à partir de cette émotion, faire de l'art — car l'art consiste à communiquer aux autres notre identité profonde avec eux, identité sans laquelle il n'y a ni moyen de communiquer, ni besoin de le faire. Je cherche alors, parmi les émotions humaines, celle qui, de type banal, présente le ton, le genre, la forme de l'émotion où je me trouve en ce moment, pour les raisons inhumaines et toutes personnelles que je suis un aide-comptable fatigué, ou un Lisboète qui s'ennuie. Et je constate que le genre d'émotion banale qui produit, dans les âmes banales, la même émotion que la mienne, c'est la nostalgie de l'enfance perdue.
Je tiens la clef de la porte qui mène tout droit à mon sujet. J'écris et je pleure mon enfance perdue ; je m'attarde avec émotion sur des détails évoquant les gens et les meubles de la vieille maison provinciale ; j'évoque ce bonheur de ne connaître ni droits ni devoirs, d'être libre parce qu'on ne sait ni penser ni sentir — et cette évocation, si elle est bien faite, si elle comporte les phrases et les scènes nécessaires, va susciter chez mon lecteur exactement la même émotion que celle que j'ai ressentie, moi, et qui n'avait rien à voir avec l'enfance.
Ai-je donc menti ? Non : j'ai compris. Car le mensonge — en dehors du mensonge enfantin et spontané, qui naît du désir de rêver tout éveillé — est simplement la prise de conscience de l'existence réelle des autres, et de la nécessité où l'on est d'y conformer la nôtre. […] Le mensonge est simplement le langage idéal de l'âme ; et de même que nous nous servons de mots, qui sont des sons articulés de manière absurde, pour traduire en langage réel les mouvements les plus subtils et les plus intimes de nos émotions et de nos pensées (que les mots, bien entendu, ne pourront jamais traduire) — de même nous nous servons du mensonge et de la fiction pour nous comprendre les uns les autres, alors que nous n'y parviendrions jamais par le seul canal de la vérité, pure et intransmissible.
L'art ment parce qu'il est social. Et il n'est que deux grandes formes d'art — l'une qui s'adresse à notre âme profonde, et l'autre à cette part de notre âme douée d'attention. La première est la poésie, la seconde est le roman. La première commence à mentir dans sa structure même, la seconde dans son propos. L'une entend nous donner la vérité par le moyen de lignes obéissant à des règles diverses, et qui mentent à l'essence même du langage ; l'autre entend nous la donner par le biais d'une réalité dont nous savons tous qu'elle n'a jamais existé.
Faire semblant, c'est aimer. Et je ne vois jamais un joli sourire ou un regard pensif sans me demander aussitôt (et peu importe qui regarde ou sourit) quel peut-être, au fond de l'âme dont le visage sourit ou regarde, le politicien qui veut nous acheter, ou la prostituée qui veut qu'on l'achète. Mais le politicien qui nous achète a aimé, tout au moins, le fait de nous acheter ; et la prostituée, si nous l'achetons, a aimé tout au moins le fait que nous l'achetions. Nous ne pouvons nous dérober, quoi que nous en ayons, à la fraternité universelle. Nous nous aimons tous les uns les autres, et le mensonge est le baiser que nous échangeons."
Extrait du livre : Le livre de l'intranquillité
Fernando Pessoa

dit « B.B. » ou « BB »,
née le 28 septembre 1934 à Paris, est une actrice, mannequin, danseuse,
chanteuse, militante des droits des animaux et écrivaine française.
“On ne confie pas sa vie à n'importe qui, à n'importe quoi... C'est ridicule, mais le ridicule peut tuer !"
"Quand on voit le délabrement dans lequel notre pays s'englue, on se demande sérieusement si un gouvernement sert à quelque chose."
"Sans le secours des animaux, je n'aurai pas pu survivre. Maintenant je sauve la vie de ceux qui ont sauvé la mienne."
“ il y a un moment pour réussir dans la vie,
et un moment pour réussir sa vie."
"J'ai donné ma jeunesse et ma beauté aux hommes, aujourd'hui, je donne mon expérience et le meilleur de moi-même aux animaux."
"Il vaut mieux se donner pour quelque temps
que se prêter pour toujours."
"Une danseuse est toujours belle ! Mais pas forcément jolie. Elles acquièrent une grâce, une légèreté, une façon de se mouvoir, de marcher, de tenir leur tête avec un port de reine. Un régime draconien et des exercices quotidiens sculptent leurs corps. Rien ne pendouille, leur ventre est plat, leurs cuisses fermes et leur mental d'acier. Elles soignent leurs cheveux qu'elles gardent précieusement longs, parure naturelle d'une féminité profonde, qui leur donne ces airs de sylphides, légères, impalpables qui les différencie du reste du monde fini."
Brigitte Bardot
Extrait du livre : Un cri dans le silence

Joyce Carol Oates, née le 16 juin 1938 à Lockport dans l'État de New York, est une femme de lettres américaine prolifique,
à la fois poétesse, romancière, nouvelliste, dramaturge et essayiste.
Elle a également publié plusieurs romans policiers sous les pseudonymes Rosamond Smith et Lauren Kelly.
Distinctions :
O. Henry Award 1967 et 1973 , National Book Award 1970, Prix Bram-Stoker du meilleur roman 1995
Prix Femina étranger 2005 , National Humanities Medal 2010, Prix World Fantasy 2011
Prix Bram-Stoker du meilleur recueil de nouvelles 2011, Prix Jérusalem 2019
Prix mondial Cino-Del-Duca2020
Photo : Joyce Carol Oates en 2014 au festival du livre du Texas à Austin, Texas, USA
Crédit photo : Larry D. Moore. Licensed under CC BY 4.0. .
“Ce n'est que lorsque vos yeux sont aveugles
que vous voyez tout."
"Qu'on s'adresse à un ami ou à étranger, les mots sont probablement inadéquats pour communiquer sur l'art.
L'art est inexprimable."
"Un mariage repose sur un équilibre soigneusement dosé de révélations et de secrets :
pour chaque révélation, un secret."
“Je sais que si on ne s'occupe pas de son passé, un jour c'est lui qui s'occupe de vous."
"L’écriture exige solitude, calme et méditation,
je trouve qu’il est très difficile d’écrire
quand il se passe trop de choses."
"Une famille est un champ de bataille où alliés et ennemis changent sans cesse de camp."
"En ce moment, je m’intéresse aux univers parallèles, au genre de la dystopie. Pour certains, nous sommes dans une réalité parallèle depuis quelque temps : imaginez, Donald Trump président ! Quelle mauvaise plaisanterie ! Pardon, mais vous ne pouvez rien trouver de mieux ? Ah, c’est la réalité ? Je veux dire, Ubu n’était pas vraiment roi, c’était une blague. La réalité parallèle peut parfois être très ordinaire : mettons que vous ayez fréquenté une école différente, vous auriez rencontré des gens différents et votre vie aurait été différente - si ça se trouve, vous vous seriez retrouvé à Singapour, qui sait ? Le point de bascule, la petite décision qui transforme tout, voilà ce qui m’intéresse."
Joyce Carol Oates
Interview pour Libération - septembre 2017

Truman Streckfus Persons, dit Truman Capote, né le 30 septembre 1924 à La Nouvelle-Orléans
et mort le 25 août 1984 à Los Angeles, est un écrivainaméricain.
“L'art et la vérité peuvent partager le même lit sans que ça les empêche d'être incompatibles.
"Une victoire remportée sur la laideur est parfois plus fascinante qu'une authentique beauté."
"J'aimerais mieux avoir un cancer
qu'un coeur malhonnête."
“Mes relations sont nombreuses, mes amis sont rares; et plus rares encore ceux qui me connaissent vraiment."
"La mort d'un rêve n'est pas moins amère que la mort, et, en vérité, elle réclame de qui l'a perdu un deuil tout aussi profond.
"Terminer un livre c'est comme traîner un gamin dans l'arrière-cour pour lui tirer dessus."
A moins d'avoir une ambition extraordinaire, une femme ne devrait pas trop se soucier de faire carrière. Ça peut marcher jusqu'à un certain point, mais il y faut une ambition surhumaine.
Truman Capote

Harlan Coben, né le 4 janvier 1962 à Newark, est un écrivain américain de romans policiers.
Distinction :
Prix Edgar-Allan-Poe, Prix Shamus, Prix Anthony, Prix Barry 1998
“Je ne crois pas à l'inspiration, mais à la transpiration, avec un zeste de désespoir."
"Il était intelligent. Et ambitieux. Il présentait bien. Tout le monde l'aimait. Il y a des gens comme ça. Vous voyez ce que je veux dire ? On a envie d'aller vers eux.."
"L'argent et la famille ne font pas bon ménage. Il y a toujours quelqu'un qui se sent lésé dans l'affaire."
“Entre innocent et coupable, la frontière n’est pas forcément très claire."
"Ne croire personne sur parole. C’était la règle. Muse avait interrogé des suspects dont les talents de comédien auraient mis De Niro au chômage."
"La qualité d’un homme ne se mesure pas au nombre de fois où il tombe, mais au nombre de fois où il se relève."
"Dire à un sujet atteint de dépression de se secouer et de sortir de chez lui équivalait à demander à un homme avec les deux jambes cassées de traverser la pièce en courant."
Harlan Coben
"Double piège"

Albert Camus, né le 7 novembre 1913 à Mondovi dans le département de Constantine (aujourd'hui Dréan dans la wilaya d'El Tarf), en Algérie et décédé par accident le 4 janvier 1960 à Villeblevin en France, est un philosophe, écrivain, journaliste militant, romancier, dramaturge, essayiste et nouvelliste français.
Lauréat du prix Nobel de littérature en 1957.
“Les jeunes ne savent pas que l’expérience est une défaite et qu’il faut tout perdre pour savoir un peu."
"Le mal qui est dans le monde vient presque toujours de l'ignorance, et la bonne volonté peut faire autant de dégâts que la méchanceté si elle n'est pas éclairée."
"Tout ce qui dégrade la culture raccourcit les chemins qui mènent à la servitude."
“L'important n'est pas de guérir,
mais de vivre avec ses maux."
"Quand une fois on a eu la chance d'aimer fortement,
la vie se passe à chercher de nouveau
cette ardeur et cette lumière."
"On se fait toujours des idées exagérées
de ce qu'on ne connaît pas."
"Plus je vieillis et plus je trouve que l'on ne peut vivre qu'avec les êtres qui vous libèrent,
et qui vous aiment d'une affection aussi légère à porter que forte à éprouver."
Albert Camus

Thomas Lanier Williams III, dit Tennessee Williams, né le 26 mars 1911 à Columbus et mort le 25 février 1983 à New York, est un dramaturge et écrivain américain.
“La haine est un sentiment qui ne peut exister que dans l'absence de toute intelligence."
"Quand quelque chose suppure dans le cœur ou dans le cerveau, le silence n'agit plus. C'est comme pousser la porte d'une maison qui brûle pour y enfermer l'incendie.."
"Sur cette terre, qu'est-ce qu'il y a d'autre à faire que s'accrocher à tout ce qui passe, jusqu'à ce que nos doigts soient arrachés ?"
“Mais il y a des choses qui se passent la nuit entre un homme et une femme et qui font que tout le reste n'a plus aucune importance !"
"Nous sommes tous des enfants, dans une immense école maternelle, où nous essayons d'épeler le nom de Dieu avec des cubes marqués d'un alphabet qui ne convient pas !."
"On est plus solitaire avec un homme qu'on aime et qui ne vous aime pas que si l'on vivait seule.."
"Il n’y a pas d’autres mensonges que ceux qui nous sont fourrés dans la bouche par la main brutale du besoin,
le poing métallique et froid de la nécessité..."
Tennessee Williams

William Faulkner, né William Cuthbert Falkner le 25 septembre 1897 à New Albany, dans l'État du Mississippi, et mort le 6 juillet 1962 à Byhalia dans le même État, est un romancier et nouvelliste américain.
Distinctions : Prix Pulitzer, Prix Nobel de littérature, National Book Award
Ses romans les plus connus sont :
Le Bruit et la Fureur (1929), Tandis que j'agonise (1930), Sanctuaire (1931), Lumière d'août (1932) et Absalon, Absalon ! (1936), considéré comme l'un des chefs-d'œuvre de la littérature universelle.
“Ne vous souciez pas d'être meilleur que vos contemporains ou vos prédécesseurs. Essayez seulement d'être meilleur que vous-même."
"Quand vous avez peur de faire quelque chose, vous vivez. Mais quand vous avez peur de faire ce dont vous avez peur, vous êtes mort."
"Le passé n’est jamais mort,
il n’est même jamais le passé."
“Celui qui naît têtard quand il essaie de faire le saumon, n'arrive qu'à être une loche."
"Le but de chaque artiste est d’arrêter le mouvement, qui est la vie, par des moyens artificiels et de le figer, de sorte que, cent ans plus tard, lorsqu’un nouvel arrivant y jettera un coup d’oeil, le mouvement reprendra vie, puisqu’il l’incarnera."
"Se donner du mal pour les petites choses, c’est parvenir aux grandes, avec le temps."
""Des fois, je ne sais pas trop si l'on a le droit de dire qu'un homme est fou ou non. Des fois, je crois qu'il n'y a personne de complètement fou et personne de complètement sain tant que la majorité n'a pas décidé dans un sens ou dans l'autre."
Extrait du livre : Tandis que j'agonise
William Faulkner

Françoise Hardy, née le 17 janvier 1944 à Paris et morte le 11 juin 2024 à Neuilly-sur-Seine, est une autrice-compositrice-interprète et actrice française.
“L'amour fou, c'est celui qui vous dépossède de vous-même, tout en vous faisant croire que lui seul peut vous combler.”
"Vieillir, c’est subir la déchéance d’un corps qui, en même temps qu’il fonctionne de moins en moins bien, s’abîme, se déforme, se dénature de plus en plus…"
"Les grands esprits se rencontrent,
les petits aussi, hélas."
“La maladie ne frappe pas n'importe où, ni n'importe comment non plus : les organes ou les fonctions qu'elle affecte, renseignent sur la nature de notre souffrance psychique. ”
"Si j'avais mesuré un mètre vingt et pesé cent kilos, je n 'aurais sûrement pas fait la même carrière."
"Peut-être est-ce pour que l'esprit la quitte avec moins de regrets que la prison du corps devient de plus en plus invivable avec le temps ?"
"L’homme est inconscient de son inconscient, inconscient de ses déterminismes génétique, biologique, sémantique, de classe, etc. Le fait d’ignorer ses déterminismes, fait qu’il leur obéit en croyant être libre."
Extrait du livre : Avis non autorisés...
Françoise Hardy

Robert Allen Zimmerman, dit Bob Dylan est un auteur-compositeur-interprète, musicien, peintre, sculpteur, cinéaste et poète américain, né le 24 mai 1941 à Duluth, dans le Minnesota.
“Qu'est-ce que l'argent ? Un homme a réussi s'il se lève le matin, se couche le soir et entre les deux a fait ce qu'il voulait faire.”
"Rappelle-toi, Robert, dans la vie, n'importe quoi peut arriver. Si tu n'as pas tout ce que tu veux, réjouis-toi de ne pas avoir ce que tu ne veux pas."
"Une chanson ressemble à un rêve qu'on essaie de réaliser.
Ce sont des pays inconnus où il faut s'introduire.."
“ Laisse-moi oublier aujourd’hui
jusqu’à demain.”
"Celui qui n'est pas occupé à naître
est occupé à mourir."
"Je pense à un héros comme quelqu'un qui comprend le degré de responsabilité qui vient avec sa liberté"
"Les gens que je connaissais - ceux qui avaient les mêmes idées que moi - essayaient d'être des musiciens de folk.
C'est tout ce qu'ils voulaient être, c'est tout ce à quoi ils aspiraient.
Il n'y avait pas d'argent dans la musique folk. C'était une façon de vivre."
Septembre 2001, interview à Rolling Stones, Mikal Gilmore

né le 8 avril 1929 à Schaerbeek (Belgique) et mort le 9 octobre 1978 à Bobigny(France), est un auteur-compositeur-interprète, poète, acteur et réalisateur belge.
“La qualité d'un homme se calcule à sa démesure ; tentez, essayez, échouez même, ce sera votre réussite.”
"Vivre, ce n'est pas sérieux ce n'est pas grave, c'est juste une aventure, c'est presque un jeu.
Il faut fuir la gravité des imbéciles."
"N'aime dans ton présent
que sa part d'avenir."
“ Je crois qu'un artiste, c'est quelqu'un
qui a mal aux autres.”
"On n'oublie rien de rien,
on s'habitue, c'est tout."
"Un enfant c'est le dernier poète d'un monde
qui s'entête à vouloir devenir grand."
"Je vous souhaite des rêves à n’en plus finir.
Et l’envie furieuse d’en réaliser quelques-uns.
Je vous souhaite d’aimer ce qu’il faut aimer,
et d’oublier ce qu’il faut oublier.
Je vous souhaite des passions.
Je vous souhaite des silences.
Je vous souhaite des chants d’oiseaux au réveil,
et des rires d’enfants.
Je vous souhaite de respecter les différences des autres parce que le mérite et la valeur de chacun sont souvent à découvrir
Je vous souhaite de résister à l’enlisement,
à l’indifférence et aux vertus négatives de notre époque.
Je vous souhaite enfin de ne jamais renoncer à la recherche, à l’aventure, à la vie, à l’amour,
car la vie est une magnifique aventure et nul de raisonnable ne doit y renoncer sans livrer une rude bataille.
Je vous souhaite surtout d’être vous, fier de l’être et heureux, car le bonheur est notre destin véritable."
Voeux de Jacques Brel sur Europe 1 (1968)

Voltaire, de son vrai nom François-Marie Arouet, né le 21 novembre 1694 à Paris où il est mort le 30 mai 1778, est un écrivain, notamment dramaturge et poète, un philosophen 1 et un encyclopédiste français, figure majeure de la philosophie des Lumières, jouissant de son vivant d'une célébrité internationale.
“ Il vaut mieux hasarder de sauver un coupable que de condamner un innocent.”
"La politique est le moyen pour des hommes sans pricnipes de direiger des hommes sans mémoire."
“Le vrai bonheur ne dépend d'aucun être, d'aucun objet extérieur. Il ne dépend que de vous."
“ Ceux qui peuvent vous faire croire à des absurdités peuvent vous faire commettre des atrocités”
"J'ai décidé d'être heureux
parce que c'est bon pour la santé."
"La politique est le premier des arts
et le dernier des métiers."
"On a trouvé, en bonne politique, le secret de faire mourir de faim ceux qui, en cultivant la terre, font vivre les autres."
Thomas Lanier Williams III, dit Tennessee Williams, né le 26 mars 1911 à Columbus et mort le 25 février 1983 à New York, est un dramaturge et écrivain américain dont de nombreuses œuvres ont été portées au cinéma.
“ La haine est un sentiment qui ne peut exister que dans l'absence de toute intelligence. ”
"La vie n'est que souvenir, à l'exception du moment présent qui passe si vite que l'on peut à peine le saisir."
"La mort n'est qu'un instant,
et la vie une multitude d'instants."
“ Il est des sentiments que rien ne peut toucher
sous peine de corruption. ”
"Car le temps est la plus longue distance
entre deux endroits."
"La vie d'un homme peut être considérablement enrichie par la présence d'une femme intelligente, cultivée, bien élevée."
“ La violence ou la guerre, entre deux hommes ou deux nations, apparaissent aussi comme une compensation aveugle et insensée à tout ce qui n'est pas vraiment achevé dans la nature humaine. ”
James Marshall Hendrix, né Johnny Allen Hendrix le 27 novembre 1942 à Seattle et mort le 18 septembre 1970 à Londres, plus connu sous le nom de Jimi Hendrix, est un guitariste, auteur-compositeur et chanteur américain, fondateur du groupe anglo-américain The Jimi Hendrix Experience, actif de 1966 à 1970.
"Si je suis libre, c'est parce que je suis toujours en train de faire quelque chose."
"L'histoire de la vie est plus rapide qu'un clin d'œil. Une histoire d'amour c'est bonjour, au revoir."
"La connaissance parle,
mais la sagesse écoute."
"Lorsque le pouvoir de l'amour vaincra l'amour du pouvoir, le monde connaîtra la paix."
"Excusez-moi,
j'embrasse le ciel."
"Le Blues est facile à jouer
mais difficile à ressentir."
"La musique ne ment pas. Si quelque chose doit être changer dans ce monde,
alors cela ne peut que se faire à travers la musique."
